Révoltant va-nu-pieds Parisien.
Chez les sans-abri les pieds sont délicats , tellement ils marchent. Sans jamais vraiment se reposer.
Lorsque ceux la viennent à faiblir c'est l'enfoncement dans la continuité du drame. Plus de chaussures, blessures, mycoses, engelures, cela parfois du simplement à des souliers et des chaussettes mouillés .
Et c'est bien triste à voir, et un enfer pour celui qui le subit.
"J'ai pleuré parce que je n'avais pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai vu quelqu'un qui n'avait pas de pieds." Helen Keller
Chez les sans-abri les pieds sont délicats , tellement ils marchent. Sans jamais vraiment se reposer.
Lorsque ceux la viennent à faiblir c'est l'enfoncement dans la continuité du drame. Plus de chaussures, blessures, mycoses, engelures, cela parfois du simplement à des souliers et des chaussettes mouillés .
Et c'est bien triste à voir, et un enfer pour celui qui le subit.
"J'ai pleuré parce que je n'avais pas de souliers, jusqu'au jour où j'ai vu quelqu'un qui n'avait pas de pieds." Helen Keller